Ace-Tamtùm Càdmos Blackburn ↳ Thomas Dekker | made by tumblr.

IDENTITÉ SECRÈTE ღPRÉNOM(s): Ace-Tamtùm, Càdmos. Sa mère avait cette lubie de prendre, comme second prénom, celui d'un dieu ou d'une déesse grecque, d'où celui de sa sœur (Càlypso). Tous le monde l'appelle Ace. ღNOM(s): Blackburn. ღÂGE: dix neuf ans. ღDATE ET LIEU DE NAISSANCE: né le 11/11/1992 à Los Angeles. ღRACE: mortel. ღÉTUDES: il étudie la médecine.

CARACTÈRE DE COCHON ღDÉFAUTS: renfermé, brisé, perfectionniste, entêté, jaloux, mauvais perdant, impulsif. ღQUALITÉS: doux, compréhensif, attentionné, mystérieux(charme), attachant, fidèle, déterminé, intelligent, souriant(lorsqu'il connait la personne). ღORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuel. ღPRÉFÉRENCES: Il adore le rock, c'est sa grande sœur qui lui en a enseigné l'usage.

Mon histoire (pour savoir les choses en commun).

Citation :

MY CHILDHOOD

Mes petits yeux d'enfants étaient habitués à une vision des choses étrange. Je les posais un peu partout, et m'imaginait que certains objets pouvaient voler. Je n'avais rien à envier au monde, de part l'amour de mes parents, j'avais tout ce dont il me fallait. J'aimais me promener à travers l'appartement, regarder et toucher tout ce qui se trouvait sur mon passage. J'étais grondée, comme tous les autres enfants, mais ma vie était simple, n'est-ce pas? Les fréquentations changent tout en un instant. Seulement, à mon âge, tous le monde est innocent n'est-ce pas?
Je portais mon petit frère dans mes bras. Ace. Il était si fragile, si innocent, tout nouveau né. Comment ne pas fondre, même à quatre ans, devant cette bouille d'ange? Je m'amusais souvent avec lui, il était ma raison de vivre, mon petit moment de bonheur, que j'en fusse la sœur ou la mère, c'était pareil pour moi. Il était celui que je devais protégé, celui avec qui je voulais avoir une relation fusionnelle. « Je serais toujours là pour toi », chuchotais-je à l'oreille du nouveau né.
« Papa? Que fais-tu? », la petite fille de neuf ans que j'étais ne comprenait pas ce que papa faisait sur sa secrétaire. Il se leva, paniqué, et m'envoya sa main à la figure. Plus tard, nos parents divorçaient. J'ai toujours cru que c'était de ma faute, mais mon petit frère me remontait tout le temps le moral, il était beaucoup plus mature que son âge. Peut-être parce que les enfants ne sont pas tous si innocent que ça. Il avait l'air de bien comprendre ce que faisait papa avec la secrétaire, était-ce les garçons alors qui devenaient des personnes très intelligentes au débuts puis bêtes au final? Peut-être que leur maturité venait de leur jeunesse, trop jeune trop intelligent, trop grand trop bête? Cette idée sexiste, on se la pose sans même s'en rendre compte. Cela dépend des personnes, c'est tout.
« Maman? Pourquoi papa n'est plus là? », s'entêtait Ace à répéter depuis qu'il était parti. Elle lui répondait tout simplement qu'il était plus là, mais qu'on le verrait bientôt. « Tu viendras avec nous? », elle esquissait un sourire derrière ses larmes, et répondait qu'elle ne pouvait pas. Et à chaque fois, je me sentais coupable du fait qu'il soit parti, coupable de tout ça. Je pensais qu'il m'en voulait, au fond je ne le savais même pas, j'étais trop jeune pour m'en rendre compte. Mon petit frère, lui, pensait que ce pouvait être de la sienne, peut-être que papa ne l'aimait pas assez fort, peut-être qu'il lui en voulait d'être né.
À mes dix ans, maman est morte, et nous fûmes forcés d'aller vivre chez mon père. Il était devenue homme célibataire avec deux enfants et un emploi merdique qui lui permettait à peine de payer les factures. Tous les jours, il me rappelait que c'était de ma faute si ma mère était morte, que j'étais fautive s'ils s'étaient séparés. Avais-je eu un apport dans cette histoire?

I HAD BEEN A TEENAGER TOO

Mon père n'arrêtait plus de me donner les fautes de tout ce qui s'était passé. Moi, j'avais juste envie de me suicider une bonne fois pour toute. Je faisais tout pour me bousiller la vie, et tout ça sous les yeux de mon petit frère qui tentait de m'aider. Je n'arrêtais pas de fumer, me droguer, tout était bon pour ne plus avoir à penser à ce père merdique. Je voulais une vie normale, je me retrouvais délinquante. Mon petit frère m'aimait plus que tout, notre relation était toujours aussi fusionnelle, j'essayais de le rendre fier, mais je voyais bien que ce n'était pas le cas. Mais il m'aimait, je le voyais au fond de ses yeux.
Mon père n'en pouvait plus de moi, et pour se venger de tout ce que je lui avait fait subir, il m'envoya dans un centre de réinsertion pour délinquantes. Je ne voulais pas, non pas parce que je voulais rester à la maison ou ne pas me retrouver sous la surveillance de maton, mais juste parce que je ne voulais pas laisser Ace tout seul. « Je ne partirais pas! Tu ne peux pas me forcer! Je veux m'occuper d'Ace! C'est la seule personne à qui je tiens et qui mérite de vivre dans cette maison! Tu ne mérite que la mort! C'est de ta faute si maman est morte, pas de la mienne! », je crois que ces mots furent le dé-clique pour mon père, et je finis dans un centre de réinsertion.
Plus les mois passaient et moins mon père venait me voir, seul mon petit frère, qui avait treize ans à l'époque, venait régulièrement, et, malgré la honte qui était sur moi, il avait l'air si heureux de me voir. « Je suis désolée Ace, désolée de te faire subir tout ça. Tu ne devrais pas venir me voir, je comprendrais si tu ne le faisais pas... Tu me manque petit frère, mon rayon de soleil.. Surtout n'oublie pas que je serais toujours là pour toi, dès que je rentrerais à la maison, je changerais, promis.. », seulement un centre de réinsertion et un centre de désintoxication n'étaient pas la même chose, et je le savais au fond de moi, mais je pense que je voulais me le cacher pour ne pas avoir à me faire plus de mal encore. Ou peut-être était-ce juste pour Ace. Je l'aimais tant, il était ma seule famille.
Lorsque je sortis du centre, mon père me mis à la porte en me disant explicitement de ne plus jamais revenir. Il précisa que je ne verrais plus jamais mon petit frère. À ces simples mots j'éclatais en sanglots et je partis, avec pour seul bagage les remords d'une petite fille de huit ans. Je n'avais rien demandé, mais il pensait que c'était de ma faute, alors, comment le faire changer d'avis? Cela faisait trop longtemps qu'il pensait cela, je ne pouvais pas faire autrement.
Je continuais la drogue, j'en vendais encore, et je fus contrainte de me prostituer pour subvenir à mes besoins. Je vivais dans un petit studio tout simple. Le bac en poche, je ne partis pourtant pas à l'université, une fois dans le cercle infernal de la drogue et de la prostitution, vous n'en ressortez pas, à moins d'aide...

NEVER SAY NEVER

Je n'aurais jamais pensé pouvoir croire à nouveau aux puissances, au hasard.. Mais ceci est tellement bizarre. J'ai l'impression que quelqu'un me suit depuis peu, je me sens observée, mais je ne sais même pas d'où ce sentiment vient. Je me prostitue toujours.. J'aimerais tant faire autrement mais je ne parviens pas à me dire que ma vie peut se dérouler d'une autre façon. Il n'y a pas si longtemps, j'ai fait un rêve bizarre...

Je me trouvais en plein milieu d'une ruelle sombre, tout me faisait peur ici, à moi, la dure de la famille. Un homme s'approcha de moi, grand, châtain, plus que beau, bien sur, je ne contrôle pas mes rêves, enfin bref. D'un coup, nous nous retrouvâmes dans un magnifique salon, ou une atmosphère romantique régnait. Il posa sa main sur moi, « Arrête Hòlly, ne te prostitue plus... Ne te rend-tu pas compte de tout ce mal? Ne te drogue plus, reprend les études, fait quelque chose. », je me mis à pleurer, et le pris dans mes bras, « Je suis désolée, je t'aime tellement, pardonne moi... Si seulement je n'avais pas fait tout cela,... Je me sens honteuse face à toi mon amour. ».

Dans ce rêve, il disait s’appeler (ian), mais ce n'était pas ça le plus bizarre. Tous le monde s'invente un faux amant dans ses rêves. Non, le plus bizarre, c'est que quelques jours plus tard, je l'ai aperçu dans la rue. Et bien sur, lorsqu'on fait des rêves du genre, on est pas réellement sans sentiments.. Je crois que je suis tombée sous le charme d'un simple inconnu.. Je deviens folle. En attendant, je vis, survis. Mon petit frère me manque tellement. J'ai honte de moi lorsque je pense à lui. Je me dis que lui aussi à honte de moi. Voici l'histoire de ma vie, ou presque.

LIENS DU PERSONNAGE AVEC LES AUTRES

CALYPSÒ HÒLLY-LILOO BLACKBURN - mortels (sophia bush): Ils ont toujours été proches depuis tout petits. Elle le protégeait autant qu'elle pouvait, et il acceptait tout d'elle. Puis il la vit partir, et dans son cœur tout se brisa. À cet instant il renia son père et décida de faire sa vie. Il pensait pouvoir tout oublier, mais sa sœur le hante, et il aimerait tellement la retrouver. Il va surement devoir tout faire pour la trouver. À moins que quelqu'un ne lui donne un coup de pouce. C'est elle qui fait son bonheur, son avis compte pour lui, et il veut qu'elle reste avec lui pour toujours. Leur relation fusionnelle est plus que grande. Pourvu que je la retrouve, se dit-il.
ALANIS PEPERSON - mortels (britt robertson): Elle l'a rencontré dans l'université où ils se trouve tous les deux. Il est tout de suite tombé sous son charme de petite fille, et il ne lui est pas indifférent. Ils se tournent autours tous les deux. Peut-être est-il plus attaché, mais en tout cas, ils se plaisent. Elle trouve en lui le réconfort qu'elle n'a pas, et lui trouve ce qu'il lui manquait. Ces deux là seraient fait pour être ensembles.
MARIA LORNET - archange (emma stone): Il est son protégé, elle s'en occupe depuis sa naissance. Elle a du mal à le gérer car, depuis que sa sœur est parti, il sent un vide en lui. Elle va tenter par tous les moyens de lui faire retrouver sa sœur, et elle lui enverra donc son adresse, anonymement.